Chaque lundi, notre Directeur de Gestion analyse et commente les marchés financiers. Quelle est la situation sur la semaine passée ? Quelles actualités faut-il retenir ?
Source : @Bloomberg LP
🌍 Macroéconomie
Aux États-Unis, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1% en novembre et de 7,1% sur un an, soit la hausse la plus faible depuis décembre 2021. L'inflation ralentit pour le cinquième mois consécutif (depuis son plus haut atteint en juillet à 9,1%). Par ailleurs, l'activité a continué à se rétracter, aussi bien dans l'industrie que dans les services. Les PMI manufacturier et des services se sont en effet établis à 46,2 et 44,4, contre 47,7 et 46,2 le mois dernier.
En zone, euro, l'activité a continué à ralentir en décembre, aussi bien dans l'industrie que dans les services, mais à un rythme plus modéré qu'au mois dernier. Les PMI manufacturier et des services se sont en effet établis à respectivement 47,8 et 49,1 contre 47,1 et 48,5 le mois précédent.
💶 Politiques monétaires
La Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé, sans surprise, une hausse de 0,5% de son taux d'intérêt directeur. Jerome Powell a annoncé que d’autres hausses suivront l’année prochaine, même en cas de récession, ajoutant que le coût pour l’économie pourrait être encore plus élevé si la banque centrale ne se montre pas ferme face à l’inflation.
De son côté, la BCE a également relevé ses taux directeurs de 0,50%, ce qui ne constituait pas non plus une surprise pour les investisseurs. La banque centrale a, par ailleurs, prévenu que les resserrements se poursuivraient à un rythme régulier, les perspectives d’inflation ayant été revues à la hausse (à 8,4% pour 2022, 6,3% en 2023 et 3,4% en 2024).
📈 Performances
La fermeté des discours des banquiers centraux face à l'inflation a de nouveau pesé sur les actions internationales qui ont clôturé la semaine en baisse de 2,4%.
• Aux États-Unis, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1% en novembre et de 7,1% sur un an, soit la hausse la plus faible depuis décembre 2021. L'inflation ralentit pour le cinquième mois consécutif (depuis son plus haut atteint en juillet à 9,1%). Par ailleurs, l'activité a continué à se rétracter, aussi bien dans l'industrie que dans les services.
• En zone, euro, l'activité a continué à ralentir en décembre, aussi bien dans l'industrie que dans les services, mais à un rythme plus modéré qu'au mois dernier.
• La Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé, sans surprise, une hausse de 0,5% de son taux d'intérêt directeur. Jerome Powell a annoncé que d’autres hausses suivront l’année prochaine, même en cas de récession, ajoutant que le coût pour l’économie pourrait être encore plus élevé si la banque centrale ne se montre pas ferme face à l’inflation.
• De son côté, la BCE a également relevé ses taux directeurs de 0,50%, ce qui ne constituait pas non plus une surprise pour les investisseurs. La banque centrale a, par ailleurs, prévenu que les resserrements se poursuivraient à un rythme régulier.
• La fermeté des discours des banquiers centraux face à l'inflation a de nouveau pesé sur les actions internationales qui ont clôturé la semaine en baisse de 2,4%.
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