Cette semaine, Yomoni est cité dans Le Figaro Magazine dans un dossier consacré à l’épargne des enfants. Le papier, publié dans la rubrique Argent, fait le point sur les limites du Livret A et les alternatives de long terme comme l’assurance-vie pour mineur et le compte-titres.
« Le temps travaille en faveur de l’enfant, ce qui permet d’aller sur des allocations plus offensives. » — Gauthier Haem, Yomoni
Ce que l’article retient (en 90 secondes)
- Yomoni cité par Le Figaro Magazine. « Le temps travaille en faveur de l’enfant », rappelle Gauthier Haem — l’horizon long permet d’assumer davantage d’actions quand c’est pertinent.
- Livret A : utile, sécurisé, mais limité. Bon pour la réserve court terme, garanti en capital, mais rendement et plafond contraignent la performance sur le long terme.
- Assurance-vie mineur, l’enveloppe clé. Commencer tôt, lisser dans le temps : les versements programmés réduisent le stress des points d’entrée et permettent de profiter des années qui passent — un atout majeur quand on épargne pour un enfant.
- Adapter l’allocation à l’horizon. Plus l’échéance est lointaine, plus on peut accepter une part de dynamisme ; à l’approche des 18 ans, on peut désensibiliser progressivement au besoin.
- Encadrer l’usage avec un pacte adjoint. Définir en amont les finalités (études, permis, premier logement) pour éviter la dépense “coup de tête” à 18 ans.
- Diversifier si besoin avec un compte-titres. Pour les profils à l’aise avec le risque : ETF à frais mesurés, et possibilité de donner les titres à la majorité (cadre fiscal à connaître).
Rappel prudentiel : les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Investir comporte des risques de perte en capital.