L'équipe de gestion Yomoni image de profil L'équipe de gestion Yomoni

Le récap de la semaine du 14 au 18 novembre 2022

Le récap de la semaine du 14 au 18 novembre 2022

Chaque lundi, notre Directeur de Gestion analyse et commente les marchés financiers. Quelle est la situation sur la semaine passée ? Quelles actualités faut-il retenir ?

Source : @Bloomberg LP

🌍 Macroéconomie

En Chine, la production industrielle a ralenti en octobre puisqu’elle a progressé de 5,0%, contre 6,3% le mois précédent.

La croissance du PIB de la zone euro a nettement ralenti au troisième trimestre, puisqu’elle s’est élevée à 2,1% sur un an (et 0,2% sur un trimestre), contre 4,3% (et 0,8%) le trimestre dernier. Le taux d'inflation a par ailleurs été revu en légère baisse à 10,6% sur un an, au lieu de 10,7%, mais reste à un niveau record. En septembre, l'inflation avait atteint 9,9%, la hausse des prix à la consommation reste notamment tirée par l'énergie et l'alimentation.

Aux États-Unis, les ventes au détail ont rebondi plus qu'attendu en octobre, après être restées stables en septembre. Elles ont en effet progressé de 1,3% par rapport à septembre, tandis que les analystes s’attendaient à une hausse de 0,4% seulement.

💶 Politiques monétaires

Les discours des banquiers centraux ont continué à refléter leur volonté de durcir leurs politiques monétaires pour lutter contre l’inflation. Aux États-Unis, James Bullard, le président de la Fed de Saint-Louis, a déclaré que la banque centrale devrait rester ferme sur les taux d’intérêt et que le taux d’intérêt final pourrait se situer entre 5% et 7%. En zone euro, Christine Lagarde a confirmé vouloir poursuivre le relèvement de ses taux d'intérêt, ce qui pourrait l’amener à restreindre l'activité économique pour juguler l'inflation.

📈 Performances

Les incertitudes liées aux politiques monétaires des pays développés ont à nouveau généré de la volatilité sur les actifs risqués, et les actions internationales en particulier qui ont finalement clôturé la semaine en légère baisse de 0,4%.

💡
À retenir :

En Chine, la production industrielle a ralenti en octobre, nouveau signe d’un ralentissement de l’activité du pays.

La croissance du PIB de la zone euro a nettement ralenti au troisième trimestre, puisqu’elle s’est élevée à 2,1% sur un an, contre 4,3% le trimestre dernier. Le taux d'inflation a par ailleurs été revu en légère baisse à 10,6% sur un an, au lieu de 10,7%, mais reste à un niveau record. En septembre, l'inflation avait atteint 9,9%, la hausse des prix à la consommation reste notamment tirée par l'énergie et l'alimentation.

Aux États-Unis, les ventes au détail ont rebondi plus qu'attendu en octobre, après être restées stables en septembre. Elles ont en effet progressé de 1,3% par rapport à septembre, tandis que les analystes s’attendaient à une hausse de 0,4% seulement.

Les discours des banquiers centraux ont continué à refléter leur volonté de durcir leurs politiques monétaires pour lutter contre l’inflation. Aux États-Unis, James Bullard, le président de la Fed de Saint-Louis, a déclaré que la banque centrale devrait rester ferme sur les taux d’intérêt et que le taux d’intérêt final pourrait se situer entre 5% et 7%. En zone euro, Christine Lagarde a confirmé vouloir poursuivre le relèvement de ses taux d'intérêt, ce qui pourrait l’amener à restreindre l'activité économique pour juguler l'inflation.

Les incertitudes liées aux politiques monétaires des pays développés ont à nouveau généré de la volatilité sur les actifs risqués, et les actions internationales en particulier qui ont finalement clôturé la semaine en légère baisse de 0,4%.
L'équipe de gestion Yomoni image de profil L'équipe de gestion Yomoni
L'équipe de gestion Yomoni vous fait bénéficier de conseils éclairés.

Ecrans App Yomoni

Obtenez votre recommandation personnalisée
en moins de 2 minutes

Jusqu'à 500€ remboursés d'équivalent de frais de gestion avec le code WELCOME24 pour toute première souscription à une assurance-vie, un PEA ou un compte-titres jusqu'au 14 janvier 2025. Voir conditions

Les supports d'investissement présentent un risque de perte en capital.