Yomoni : investissez mieux !

Défier sa banque grâce à un gérant d’épargne externe

Médecin généraliste de 47 ans, Frédéric est divorcé et père de deux enfants de 18 et 15 ans. Investir, c’est un peu devenu une routine pour lui.

Cela fait en effet quelques années qu’il a ouvert un PEA, une assurance-vie et un PER qu’il alimente régulièrement afin de constituer petit à petit une épargne dont il pourra profiter pour ses vieux jours.

Mais voilà l’événement qui vient bousculer son quotidien : il vient de toucher une somme importante après avoir vendu le parc immobilier d’un proche décédé récemment (héritage). Le solde de son compte bancaire après la vente de ses actifs : 500 000 €.

Pour Frédéric, il est hors de question de garder ces 500 000 € sous forme de liquidités. L’objectif est définitivement de mettre à profit ce capital pour dégager de solides rendements.

Voici nos conseils pour Frédéric.

Audit patrimonial : définir ses enjeux personnels

Frédéric n’est certes pas à sa première passe d’armes en matière d’investissement.

Mais la confiance qu’il a acquise par son expérience ne doit pas l’aveugler : pour avancer dans la bonne direction, il convient dans un premier temps de réaliser un état des lieux de sa situation patrimoniale et de définir ses propres enjeux.

Une fois cela fait, la stratégie d’investissement qui en découle n’en sera que plus pertinente.

Voici 7 questions que Frédéric doit se poser pour définir son contexte patrimonial :

  1. Quels sont mes revenus et mes dépenses ?
  2. Quel est mon patrimoine net global ?
  3. Quelle est ma répartition patrimoniale en classe d’actifs et en produits ? (y a-t-il des classes d’actifs sous-représentés ?)
  4. Quels sont mes objectifs de rendement ?
  5. Y a-t-il des enjeux de transmission ?
  6. Ai-je prévu suffisamment pour financer ma retraite ?
  7. Mes partenaires financiers actuels me satisfont-ils ?

Frédéric va essayer de répondre à toutes ces questions. Mais il s’est déjà fait une petite liste de 3 priorités :

  1. Pour lui, sécuriser sa famille est un enjeu crucial. Ses deux enfants approchent des études supérieures. Sa fille de 18 ans (Léa) aimerait faire une école de design d’intérieur dont il faut prévoir les frais de scolarité. Il souhaiterait donc dans un premier temps transmettre 50 000 € à chacun de ses enfants pour les aider à bien démarrer dans la vie.
  2. Ne pas se mettre en danger. Ses revenus lui permettent aujourd’hui d’épargner massivement (20% de taux d’épargne par mois) et son patrimoine net global est positif (malgré un crédit immobilier qu’il finira de payer dans 10 ans). Il est donc dans de bonnes dispositions pour investir sans s’inquiéter.
  3. Frédéric s’estime sous-exposé aux actions. Il souhaite par ailleurs essayer d’investir dans des classes d’actifs nouvelles.

Horizon, risque et liquidité : les bases de l’investissement

Frédéric n’est pas à son coup d’essai, mais il est fondamental de pouvoir au moins rappeler ces 3 points essentiels quand on cherche à placer :

Quel est l’horizon de placement de Frédéric ?  Sa tolérance au risque ? Quel est le degré de liquidité dont Frédéric a besoin ?

Notre médecin n’a pas spécialement d’horizon de placement et sa tolérance au risque a augmenté au fil du temps. Alors qu’il avait tendance à être plus anxieux avec l’argent quand il était plus jeune, il est plus simple pour lui d’investir dans des placements dits “risqués” (aucune garantie en capital).

Frédéric dispose de revenus solides, et estime qu’il n’a pas spécialement besoin d’investir dans des actifs hautement liquides.

Diminuer les frais cachés : s’entourer d’autres partenaires financiers

À l’époque, Frédéric a ouvert une assurance-vie multisupport par l’intermédiaire de sa banque (son partenaire financier historique).

À bien y réfléchir, il est assez peu satisfait des performances générées par les fonds (OPC) mis à disposition.

En plus de cela, il réprouve le niveau des frais de gestion qu’il paie chaque année : il les considère trop élevés. En faisant les calculs, il conclut même que le manque à gagner sur ces dernières années est assez important. Avec ses 300 000 € en assurance-vie, le surcoût de 1% (soit 3 000 €) qui tombe dans la poche de sa banque chaque année pourrait lui permettre de faire un beau voyage en Italie. Il trouverait que l’argent serait mieux dépensé ainsi, et nous sommes d’accord avec lui.

La situation de Frédéric peut l’inviter à diversifier son patrimoine en s’adressant à de nouveaux partenaires et en privilégiant les ETFs (dont il entend de plus en plus parler).

Le mouvement stratégique est clair : mettre sainement sa banque au défi en intégrant un outsider dans la partie.

Aller chercher des investissements un peu plus exotiques

Frédéric a une partie financière déjà bien éprouvée.

  • Il a des actions via ses investissements en OPCVM classiques (SICAV…)
  • Une partie obligataire non négligeable

Il est également satisfait de son patrimoine immobilier qu’il ne souhaite pas développer (il dispose d’un bien immobilier à Rennes qu’il loue à un étudiant).

Pour Frédéric, sa situation financière nouvelle est une aubaine pour essayer des investissements qu’il ne s’était pas encore autorisé à faire. Chaque dimanche au badminton, il entend souvent parler de l’intérêt de ses amis pour le Private Equity.

Maintenant que l’opportunité est là, peut-être est-ce le moment d’essayer ?

Nos suggestions pour Frédéric : Private Equity, Assurance-vie et CTO

Frédéric est un épargnant aguerri.

Il juge que ses choix patrimoniaux n’ont pas été particulièrement optimaux, mais qu’il est content du chemin déjà parcouru.

Maintenant qu’il a acquis une certaine expérience comme épargnant, il souhaite passer à l’étape supérieure et dynamiser le rendement de son épargne… Sans oublier de sécuriser un maximum ses deux enfants.

Voici ce que nous avons imaginé pour lui :

Rappelons que cette allocation n’est qu’une voie parmi tant d’autres !

À ce niveau de technicité et d’épargne à investir, il est vivement recommandé à Frédéric de contacter un conseiller avant de réaliser la moindre opération.

Les supports de placement mentionnés dans cet article présentent un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

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