Yomoni : investissez mieux !

Le mois de décembre fut marqué par la COP 21, la réunion mondiale du climat, qui devait fixer l’avenir écologique de la planète. L’enjeu était de taille car les chefs d’États n’avaient pas d’autres choix que de réussir. Malgré les désaccords entre pays, les négociateurs ont réussi à aboutir à un accord final.

Sensible à l’écologie, toute l’équipe de Yomoni a suivi de près les négociations qui ont permis d’aboutir à ce traité. Nous avons d’ailleurs été frappés par les contraintes similaires soumises à l’aboutissement d’un tel accord et les décisions face à l’épargne.

Court Terme VS Long Terme

Le temps était sans doute la contrainte numéro un pour les négociateurs. Il a fallu mettre d’accord tous les pays sur l’importance du long terme en imposant des objectifs clairs et ambitieux.

Le climat se joue sur l’avenir, comme pour l’épargne !

En effet, ce n’est pas en deux ou trois ans que l’on multipliera par trois ou par quatre son épargne. Il faut laisser le temps au temps et privilégier le long terme.

Arbitrage entre le projet et l’investissement consacré

Les pays du Nord ont longuement débattu sur l’investissement global promis à ceux du Sud pour les accompagner dans leur lutte contre le réchauffement climatique. C’est finalement un montant de 100 milliards qui a été décidé.

Encore une fois, on voit ici un parallèle avec l’épargne lorsqu’il faut prendre une décision sur le montant global de son investissement. Il faut réussir à faire un arbitrage entre le montant investi et le projet que l’on se fixe. Voyage, étude, retraite…autant de sujets différents qui impliquent des sommes différentes.

Quelle prise de risque ?

L’autre grande composante de l’épargne est le degré de risque encouru selon les rendements espérés. Sur une échelle de 1 à 10, que vais-je envisager ?

Les pays ont joué à un jeu dangereux pendant une dizaine de jours en menaçant systématiquement d’interrompre les négociations en cas de désaccord majeur. Le risque était donc quotidiennement à 10 mais le jeu en valait la chandelle car la portée du traité est historique.

En revanche, ce jeu dangereux est conseillé exclusivement à ceux qui en ont les moyens.

En revanche, ce jeu dangereux est conseillé à ceux qui maîtrisent les risques encourus et qui peuvent perdre une partie de leur épargne.

Pour la COP 21, le réchauffement climatique ne donnera pas de deuxième chance et il fallait absolument conclure un accord. Les négociateurs ont donc flirté avec le risque maximal à longueur de temps, ce qui n’est pas forcément à prendre en exemple pour son épargne personnel surtout si l'on ne maitrise pas la matière.

La prise de risque doit être contrôlée et suivie pour être pertinente. Et c'est à cette condition que cela peut être une stratégie attractive tant les marchés financiers se sont avérés payants sur des périodes longues.

Prendre une décision majeure rapidement

Lorsque toutes les contraintes sont connues et analysées, il ne reste plus qu’à se décider.

Bien entendu, plus la décision sera prise rapidement, plus vous gagnerez du temps sur les bénéfices attendus ! Tant pour le climat que pour l’épargne, la rapidité d’éxécution du projet permettra d’espérer maximiser les bénéfices attendus en perdant le moins de temps possible.

Après avoir répondu aux questions des besoins, des risques et de la vision, l’épargnant ou le diplomate de la COP 21 a toutes les cartes en main pour prendre une décision…qui aura sans doute un impact majeur dans les années à venir !

Et vous, quel est votre projet d’investissement ?

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