Combien coûtent les études supérieures en France ?
En France, l’État prend à sa charge la grande majorité du coût de la formation supérieure (autour de 12 000 € par étudiant et par an selon le ministère de l’Education). Cependant, les parents doivent tout de même payer la part non couverte (frais d’inscription ou frais d’une école privée), éventuellement le logement de leur enfant, ses dépenses courantes (alimentation, fournitures…), son argent de poche…
En 2018, une enquête menée par l’institut CSA auprès de 500 parents français a révélé un budget moyen de 7132 euros annuels pour les études supérieures de leurs enfants. Compte tenu de l’augmentation du coût de la vie, on peut tabler sur 8 000 € aujourd’hui.
Source : étude réalisée par CSA Research pour Cofidis France, par questionnaire auto-administré du 19 au 28 mars 2018 auprès d'un échantillon de 503 parents d'enfants scolarisés dans le supérieur
Ce chiffre cache de grandes disparités, car c’est une moyenne entre les enfants qui restent au domicile familial pendant leurs études, et ceux qui sont logés à l’extérieur dans le parc universitaire ou privé.
Le coût le plus élevé est évidemment celui d’un étudiant en école de commerce ou école d’ingénieur privée, donc payante, à qui les parents payent un logement à Paris ! On peut alors facilement dépasser les 15 000 € par an….
Comment les parents peuvent-ils s’y préparer ? Suivez le guide
Nous allons vous proposer d’investir pour votre enfant, et ce, dès son entrée en CP.
Préparer financièrement les études des enfants dès l’entrée en CP, cela vous paraît prématuré ?
C’est pourtant le meilleur moyen de préparer cette étape importante qui peut durer un nombre d’années indéterminé.
Il y a un ordre de grandeur à retenir :
Une épargne de 100 € par mois dès le CP peut se transformer en 20 000 € au moment du Bac
Voici un petit tableau pour avoir des chiffres plus précis :
12 ans séparent l’entrée en CP de l’obtention du Bac. Pour bien placer sur cette période, le secret tient en trois ingrédients :
- L’épargne progressive. Vous ne pourrez pas forcément sortir 10 000 € ou 15 000 € par an le moment venu (à multiplier par le nombre d’enfants). Mais vous pouvez accumuler mois par mois une cagnotte dans laquelle puiser plus tard.
- Un placement dynamique. L’épargne accumulée doit provenir de votre propre effort, mais aussi des intérêts composés. Alors, oubliez les livrets et profitez de la longue durée (12 ans au début) pour investir plutôt que placer. Visez des allocations au meilleur potentiel : riches en actions. Le placement sera soumis à volatilité et au risque de perte en capital, mais ces facteurs seront tempérés par l’investissement programmé et l’objectif long terme.
- Des montants évolutifs pour suivre l’inflation. 20 000 € dans 12 ans vaudront moins qu’aujourd’hui. Ou, dit autrement, le coût des études sera probablement plus élevé. Pour accompagner la hausse des prix, vos versements doivent accompagner vos augmentations de revenus : il faudra réévaluer régulièrement les montants épargnés à la hausse.
Comme vous pouvez le constater dans le tableau, compte tenu des montants en jeu, ce n’est pas vraiment le rendement des placements qui fera la différence. Le capital obtenu en plaçant à 7% n’est pas si éloigné de celui placé à 6%. En revanche, plus vous parvenez à mettre de côté, plus votre capital sera important à terme. Sur ce type de montants et de durée, c’est là que vous avez une carte à jouer.
Placez tôt, versez régulièrement, et n’y pensez plus !
Surtout, ne tardez pas : chaque année réduit le montant d’épargne que vous versez, mais réduit aussi les intérêts composés. Et si vous traînez trop, vous serez contraint de réduire l’exposition aux actions (et donc le potentiel de rendement) car vous ne profitez plus de la longue durée.
Une autre règle d’or, plus facile à respecter, c’est que vous n’avez certainement pas besoin de regarder les niveaux de marché pour savoir quand verser. Des versements réguliers, y compris en pleine euphorie, y compris en plein krach, feront l’affaire bien mieux que si vous cherchez à anticiper.
L’assurance-vie kids Yomoni, solution de placement optimale pour ce projet
Où placer l’argent ? L’assurance-vie enfant est le placement le plus adapté.
Prenons l’exemple de l’assurance-vie enfant Yomoni : elle vous permet d’anticiper les études de vos têtes blondes en toute tranquillité et peut être ouverte avec un ticket de 300€.
Sans plafond, non bloquée, avec des versements programmés simples à mettre en place, une diversification grâce aux ETF, une fiscalité allégée dès la 8e année, elle saura s’adapter à tous vos projets, donc la préparation des études supérieures. Visez un profil assez offensif si vous tolérez le risque.
Le petit plus : Le contrat Yomoni assurance-vie enfant peut intégrer une clause pacte adjoint qui permet aux parents de garder la main sur le contrat d’assurance-vie de leurs enfants jusqu'à leurs 25 ans. Attention, cette clause doit être mise en place au moment de la souscription du contrat : elle ne peut être ajoutée par la suite. Il faut donc y penser au jour de la souscription.
Les supports de placement présentent un risque de perte en capital
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