Yomoni : investissez mieux !

Cette semaine encore, Yomoni a fait parler. Notre modèle, nos techniques de gestion, ont été analysés par plusieurs médias.

Au programme : procédés novateurs, algorithmes, gestion pilotée, ETF ... On vous fait un résumé de l’actualité que vous auriez pu manquer.

ETF et gestion passive vs gestion active

“ Rien ne semble pouvoir arrêter la course en avant des ETF. Ils représentent désormais près de 10.000 milliards de dollars d'actifs sous gestion (chiffres mondiaux).

Et avril 2023 marque un 47e mois consécutif de collecte positive pour ce type de produit, selon la société de conseil ETFGI”, c’est le constat dressé par Les Echos le 14 juin dernier. Si le contexte macroéconomique est porteur pour ce type de gestion, il semble l’être tout autant pour les acteurs qui basent leur modèle de gestion sur les ETF (Exchange Traded Funds) - entendez par là des instruments financiers qui répliquent la performance d’un indice sur un marché donné comme le S&P 500 - « Depuis 2015, à profil de risque équivalent, notre gestion pilotée en ETF fait mieux que 96 % des fonds actifs. Par moments, la gestion active peut faire mieux, notamment dans les baisses de marché, mais il reste difficile pour un gérant actif de rattraper le différentiel de frais », explique Olivier Malteste, directeur des investissements de Yomoni. Gardez en tête qu’investir comporte des risques, notamment de pertes en capital et que les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Autre écueil de la gestion active « Choisir la gestion active suppose de savoir sélectionner un gérant, ce qui est à peu près aussi complexe que de sélectionner une valeur” juge Olivier Malteste. L'équipe de gestion d'un fonds peut changer et avoir des biais de style, donc il faut comprendre s'ils sont adaptés au contexte de marché. ». Alors gestion active ou passive ? Un débat à suivre de près.

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La gestion pilotée : la clé de voûte de l’investissement pour tous

Finie l’époque où la gestion d’épargne n’était réservée qu’à une poignée d’investisseurs experts. Les néophytes aussi peuvent aussi faire fructifier leur argent grâce à la gestion pilotée et ce à moindres frais : “Autrefois réservée aux habitués des banques privées pour des montants à six chiffres, la gestion pilotée est désormais accessible à partir de quelques centaines d’euros dans les contrats distribués en ligne par des acteurs spécialisés (Altaprofits, Linxea, Yomoni…)” souligne l’hebdomadaire L’Express.

Ce modèle, basé sur une modélisation de l’investisseur, itérée par une succession de questions auxquelles répond l’épargnant en ligne, permet de définir un portefeuille adapté à chaque épargnant en fonction de son profil de risque, de son projet et de sa situation. Comment cela se passe ? Vous confiez votre argent entre les mains expertes des gérants d’épargne pour faire travailler efficacement votre argent.

C’est le cas de Yomoni qui dispose d’une équipe de gestion, composée d’experts aux parcours professionnels remarquables. L’équipe utilise la puissance des ETF, pour construire des portefeuilles performants, répartis entre allocation stratégique (qui vise la performance long-terme) et l’allocation tactique (qui permet des ajustements du portefeuille à la marge, quand cela est nécessaire)  : « Notre comité de gestion se réunit chaque mois pour décider des éventuels arbitrages à mener et, en cas de changement, les modifications sont réalisées automatiquement », indique Charlotte Thameur, directrice conseil de Yomoni. pour l’express.

Le long-terme, le pari gagnant de l’épargnant ?

Cette dernière poche dite allocation tactique est volontairement minoritaire au sein des portefeuilles Yomoni. Et pour cause, en investissement, “l’achat impulsif aboutit souvent à des déceptions et à une vente en catastrophe, à perte,” souligne Les Echos. “Il faut se méfier des effets de mode et ne pas céder à la peur de rater une opportunité », enchérit Olivier Malteste, directeur des Investissements, chez Yomoni, après avoir précisé que : « Pour les placements en actions, la durée d'investissement minimale conseillée est généralement de cinq ans”. Et pour cause : “ Les actions sont la plus performante des grandes classes d'actifs sur très longue période. Si l'on prend le cas de la France, depuis l'année 1900, elles ont en moyenne généré une performance réelle (déduction faite de l'inflation) de 3,4 % par an, tandis que les obligations d'État ont tout juste compensé l'inflation.”. Mais alors, comment faire en sorte d’optimiser ses rendements sur le long terme autrement que par le “boursicotage”  ? La diversification, comme le précise Olivier Malteste : « Investir régulièrement et de manière programmée pour lisser les points d'entrée est conseillé. L'épargnant doit pouvoir maintenir son effort d'investissement en période de turbulence. Il faut aussi penser à diversifier ses placements entre plusieurs secteurs et zones géographiques. ».

L'ensemble des citations de cet article sont extraites de :

Les Echos.fr “Bourse : gestion active ou ETF, à qui vont profiter les doutes des marchés ?”, 14 juin 2023

Les Echos.fr “Placements : pourquoi les actions sont incontournables”, 13 juin 2023

L’Express “ La gestion pilotée fait peau neuve”, 15 juin 2023

Bsmart, ETF : les dernières tendances, 9 juin 2023

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