Yomoni : investissez mieux !

Si vous n’avez jamais investi ailleurs que dans le livret A, vous vous imaginez sans doute que vous allez devoir vous transformer en trader pour réussir à placer votre argent. Ou que les banquiers de la City vont croquer à pleines dents dans votre épargne et vous laisser le trognon. Ou que tout peut disparaître du jour au lendemain.

Démêlons le vrai du faux parmi toutes ces idées reçues !

Idée reçue 1 : Il faut être riche pour qu’investir en vaille la peine

Faux

C’est l’une des idées reçues les plus tenaces : Le monde de l’investissement serait réservé aux personnes fortunées. Nous y avons même dédié un article complet (Les riches ont-ils de meilleurs placements ?).

C’était sans doute vrai par le passé. Pour investir son épargne correctement, il fallait déjà disposer d’un certain patrimoine.

Le moindre ordre d’achat en bourse coûtait au moins une centaine de francs. Ces frais rendaient la diversification difficile pour les petits épargnants : puisqu’il faut assembler au moins une dizaine de titres pour créer un portefeuille un minimum diversifié, il fallait déjà disposer d’un certain capital pour amortir les frais.

Aujourd’hui, l’investissement s’est considérablement démocratisé. Les ordres de bourse ne coûtent presque plus rien et les ETF permettent une diversification immédiate pour coût dérisoire.

Et pour ceux qui préfèrent déléguer, les acteurs comme Yomoni ont abaissé le ticket d’entrée de la gestion sous mandat à 1000 € alors que cette dernière était autrefois réservée à la clientèle patrimoniale.

Chez Yomoni, la performance (exprimée en pourcentage) sera la même pour 1 000 euros ou pour 50 millions d’euros, puisqu’elle ne dépend que du profil de risque choisi.

Bien entendu, un gain de 10% représentera davantage (en euros) sur 50 millions que sur 1000 euros. Mais même si vous commencez petit, le temps et la régularité sont vos alliés !

Idée reçue 2 : Il faut suivre ses investissements de près ou être un expert pour réussir

FAUX… si vous investissez à long terme

Vous n’avez pas besoin de suivre vos investissements de près. Toutes les études démontrent que les investisseurs les plus actifs sont aussi les moins rentables… et que les femmes avaient en moyenne un style d’investissement plus vertueux, notamment, car elles sont plus focalisées sur le long terme et moins enclines à réaliser des transactions inutiles.

Pour bien investir, vous n’avez pas à garder les yeux rivés sur votre écran. Le bon moment pour investir n’a pas vraiment d’importance.

Oubliez aussi l’analyse financière : le choix des valeurs (acheter l’action L’Oréal plutôt que l’action Peugeot par exemple) a peu d’importance, puisque l’idéal est souvent d’acheter des ETF, qui détiennent un grand nombre de valeurs pour une diversification maximale.

Ce qui compte surtout, c’est de rester investi dans la durée. La meilleure attitude est d’investir par tous temps, sans se poser de questions, sans regarder les cours. Cela évite du stress, cela évite de se poser des questions, et à la fin, c’est le plus rentable !

En revanche, si vous pratiquez le day trading (acheter et vendre au cours de la même journée), vous devez évidemment être attentif aux fluctuations à court terme ! Mais cette pratique est généralement perdante et déconseillée pour faire croître son patrimoine.

Idée reçue 3 : Lorsqu’on investit, on peut tout perdre

VRAI… mais en théorie seulement

Effectivement, investir présente des risques de perte en capital. Si cela sonne comme un refrain connu, c’est parce que c’est une mention légale obligatoire sur certains documents.

Qu’en est-il réellement ?

Une action étant une part d’entreprise, elle peut effectivement perdre toute valeur si la société fait faillite : vous pouvez donc perdre votre investissement si vous avez investi tout votre argent sur une seule entreprise.

Et, puisqu’une entreprise peut faire faillite, deux entreprises le peuvent aussi… et dix aussi si vous n’avez vraiment pas de chance.

Il faut toutefois distinguer ce qui est possible de ce qui est probable.

La faillite simultanée des 40 plus grandes entreprises de France est quasi impossible. Et celle des 500 qui composent l’indice américain S&P 500 ? Encore moins. Et celle des 1600 plus grandes entreprises du monde, représentées par l’indice MSCI World, totalement impossible (ou presque). Cela signifierait que des millions de personnes auraient perdu leur emploi. Que la monnaie n’aurait plus de valeur. Que les États du monde entier seraient ruinés.

À force de dramatiser, on perd de vue les réalités. Il faut rester pragmatique et raisonnable.

En achetant un ETF (tracker), c’est-à-dire un panier d’actions déjà sélectionnées, vous réduisez fortement le risque de “tout perdre” grâce à la diversification. Les marchés financiers restent volatils, mais votre investissement n’ira probablement jamais à 0.

“Ne placez que l’argent que vous êtes prêt à perdre”, “considérez cet argent comme perdu” est un dicton qui tend à exagérer la réalité. En achetant des actions, vous possédez une partie de l’entreprise, ce n’est pas un actif virtuel !

Idée reçue 4 : Les performances passées présagent des performances futures

FAUX

Les mentions légales vous le rappellent souvent : les performances passées ne présagent pas des performances futures.

C’est vrai : le fait qu’un placement ait progressé de 10% l’année dernière ne donne aucun indice sur son comportement futur. Et il en est de même pour un placement qui aurait perdu 20%. Rien ne permet de prévoir les cours futurs. Et certainement pas les variations passées.

… mais VRAI dans quelques rares cas !

Les performances passées peuvent cependant présager de l’avenir… lorsqu’elles sont mauvaises ! Et spécifiquement sur les OPCVM.

Pourquoi ? Car un OPCVM qui a historiquement fait systématiquement moins bien que son indice de référence aura tendance à persister dans ce mauvais comportement.

En effet, il est probablement tiré vers le bas par ses frais trop importants. Et si les marchés sont imprévisibles, les frais, eux, sont malheureusement très prévisibles ! Une étude menée par Morningstar a même déterminé que les frais étaient un très bon déterminant de la performance future d’un fonds.

Alors, vérifiez bien les frais de vos produits financiers ! (pour les frais de Yomoni, c’est ici).

Attention, ce raisonnement ne tient pas avec les cours de bourse (le fait qu’une action ou un indice boursier ait baissé ne dit absolument rien sur son avenir).

Idée reçue 5 : Il faut impérativement aimer le risque pour investir

FAUX

Il existe des investissements très peu risqués, comme les livrets réglementés ou le fonds en euros de l’assurance-vie.

Bien entendu, pour espérer obtenir un bon rendement, une prise de risque est nécessaire. Il faut donc être en mesure de tolérer des variations de valeur, et une incertitude sur la valeur future de son investissement.

Mais le risque n’est pas binaire. Tous les investissements peuvent être catégorisés sur une échelle de risque. L’Autorité des Marchés Financiers, le régulateur de l’épargne en France, a standardisé un indicateur de risque allant de 1 à 7. Quel que soit votre appétit (ou votre aversion) pour le risque, vous trouverez un investissement qui vous convient chez un gérant d'épargne qui propose une offre diversifiée comme Yomoni.

Idée reçue 6 : Investir, c’est bloquer son argent pendant longtemps

FAUX

Dans la plupart des cas, votre argent reste disponible.

Cependant, cette idée reçue existe à cause de deux vérités :

  • Certaines enveloppes fiscales (comme l’assurance-vie ou le PEA) offrent des avantages fiscaux après une certaine durée de détention. Si vous retirez trop tôt, vous n’avez pas accès à l’avantage fiscal. C’est dommage, mais ce n’est pas un blocage (votre argent reste disponible), c’est simplement une perte d’opportunité.
  • Les placements ont une durée de détention recommandée en fonction de leur niveau de risque. Toutefois, cette durée de détention n’est qu’un conseil, pas une obligation. En vendant avant cette date, les conditions de revente peuvent être défavorables car les fluctuations peuvent entraîner une moins-value. Statistiquement, en restant la durée recommandée, vous minimisez votre risque de perte. Il est donc important de respecter cette durée.

Pour ces raisons, nous vous conseillons d’organiser votre épargne selon les durées de placement envisagées, avec la méthode décrite dans cet article.

Idée reçue 7 : La finance est un secteur opaque

VRAI et FAUX

Le secteur de l’investissement est fortement réglementé par l’AMF (l’Autorité des Marchés Financiers), qui impose une documentation complète, parfois lourde, sur chaque service proposé.

Aujourd’hui, les épargnants sont plus protégés et plus encadrés que jamais. Mais cette volonté de transparence entraîne souvent une surcharge d’information et un jargon pas toujours compréhensible.

Et même si les fintech comme Yomoni font un travail de vulgarisation et de simplification de tout ce qui peut l’être, il peut rester des zones opaques. N’hésitez pas à solliciter le service client, qui se fera une joie de démystifier ce qui reste flou.

Idée reçue 8 : La Bourse est un moyen de gagner de l’argent rapidement en faisant des “coups”

FAUX

Vous avez sans doute des proches qui ont gagné quelques milliers d’euros en achetant et en vendant des actions au bon moment. Mais il y en a autant qui ont perdu… et ils sont sans doute plus discrets.

Le risque des marchés se situe dans le court terme. Il est impossible de prédire si la Bourse montera ou baissera demain : les probabilités sont d’environ 50/50.

En revanche, plus vous restez investis longtemps, plus vous mettez les chances de votre côté. À long terme, l’incertitude est bien plus faible. Cette infographie de l’AMF vous montrera que le risque décroît en fonction de la durée de détention.

Chercher à faire des “coups”, spéculer, c’est :

  • peu rentable à long terme
  • plus risqué sur l’investissement
  • un facteur de stress
  • et surtout… absolument pas nécessaire pour réussir.

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Les supports d’investissement présentent des risques de perte en capital.

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